Le Burkina et si on réformait l’habitat?
Le Burkina Faso a un peuple qui vit majoritairement dans la cité capitale, Ouagadougou. Le pays des hommes de valeur intègre a plus de la moitié de ses citoyens installés zone urbaine et il utile de réformer d’après l’auteur Richard Bergeron.
Logement et enjeu
L’ancienne Haute Volta a besoin d’être restructurée pour une meilleure révolution. Le peuple des hommes intègres a vécu années après année des réformes modernes c’est-a-dire la transformation des maisons sauvages à constructions non surveillées et en désordre dans la cité capitale. Il s’est donc présenté avec acuité vers les années 2010, un grave problème de maisons pour habiter.
Fort informé de cette situation, raconte Richard Bergeron sans le résumé de son ouvrage, les autorités publiques ont opté pour les logements collectifs. Une approche salutaire paraît-il pour tous en majorité mais surtout pour les personnes pas nanties, les populations nettement moyennes dans leurs revenus. L’objectif est:
- Mieux loger les couches sociales populaires dans un habit décent,
- faire éclore une tendance d’habitats collectifs au sein du Burkina Faso.
- Rassembler les consciences des citoyens entre eux.
L’Etat a vu loin avec cette idée. Cette approche stratégique a donné esport. Mais c’est pourtant une stratégie bien pensée qui fait face à des réalités du pays selon cet auteur.
Les blocages du logement collectif
Les freins à la mise en place du projet communs des habitations sont nombreux:
- la quantité des ressources physiques et humaines hautement sollicitées;
- les habitants ont mal compris les visées de ces habitations collectives prévues;
- l’évaluation de la logistique nécessaire ainsi que le besoin en qualité des techniques immobilières requises,
- l’attribution inappropriée et mauvaise des différentes ressources;
- le gaspillage du foncier et des finances.
Les dirigeants se sont concentrés sur ce projet de révolution burkinabé. Ils l’ont basé tout compte fait sur cette idée de faire émerger et éclore une et une seule conscience commune du logement. Mais, l’auteur Bergeron est sceptique par rapport à ces blocages de logement au Burkina et se demande ce que deviendra le pays si cette ambition immobilière collective venait à échouer.